PSG
1 / 0
Nancy
PSG
Nancy
Lionel Letizi
David Rozehnal
Vikash Dhorasoo
Sylvain Armand
Bernard Mendy
Mario Yepes
Bonaventure Kalou
Edouard Cissé
Modeste M'Bami
Jérôme Rothen
Pedro Pauleta (Cap.)
Gennaro Bracigliano (Cap.)
Adailton
Frédéric Biancalani
Pape Diakhaté
Sébastien Puygrenier
Cédric Lécluse
Pascal Berenguer
Landry N'Guemo
Adrian Sarkisian
Elie Kroupi
Gaston Curbelo
COMPTE-RENDU Par Tidavd

Bien regroupé dans un système à cinq défenseurs, mais ne fermant d’aucune manière le jeu, les Nancéiens ont fait plus que jeu égal avec le PSG en première période. Quarante-cinq premières minutes à vite oublier pour des Parisiens jouant trop bas et incapable d’accélérer pour mettre véritablement en danger leur adversaire du soir. Ce sont d’ailleurs les Nancéiens qui prirent petit à petit possession du milieu de terrain, beaucoup plus volontaires et récupérant bon nombres de ballons. C’est sous les sifflets du public que les deux équipes regagnent les vestiaires. En seconde période, E.Cissé laisse son côté droit à Dhorasoo et rejoint M’Bami à la récupération. Nancy repart de plus belle et domine les débats, poussant les Parisiens à jouer en contre. Pourtant, c’est bel et bien le PSG qui ouvre la marque grâce à un petit exploit personnel de Kalou (54eme). Un but qui ne libérera pas pour autant les joueurs de la capitale, même si ils finirent mieux. Au final, un match bien triste côté PSG, alors que les Nancéens ont joué sur les valeurs qu’on leur connaît depuis le début de championnat. S’ils avaient un peu plus osés, peut-être auraient-ils pu ramener un petit quelque chose de ce déplacement
LETIZI a commis quelques fautes de relances à la main. ARMAND s’est retrouvé quelques fois dépassé sur son côté gauche par les décalages nancéiens, tandis que B.MENDY s’est contenté de défendre. M’BAMI est resté fidèle à ses prestations passées avec bon nombre de ballons rendus à l’adversaire. Plus facile pour lui quand E.CISSE est venu le rejoindre au milieu de terrain en seconde période. DHORASOO n’a pas vraiment pesé et reste une interrogation : on a la désagréable impression qu’il joue en « marchant ». ROTHEN s’est montré combatif sur son côté, à défaut d’être réellement décisif. KALOU a été plutôt discret, mais sur un éclair a su donner la victoire à son équipe. PAULETA aurait pu –dû ? – aggraver la marque en fin de match.